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03/10/2025
11 minutes

Ski après 50 ans : quels sont les vrais risques ?

Chaque hiver, des milliers de quinquagénaires et sexagénaires retrouvent avec plaisir le chemin des pistes. Le ski reste d'ailleurs l'un des sports d'hiver préférés des Français, toutes générations confondues. Mais passé 50 ans, le corps change : articulations moins souples, temps de récupération rallongé, équilibre parfois moins sûr. Alors, quels sont réellement les risques du ski pour les seniors ? Faut-il renoncer aux joies de la glisse ou simplement adapter sa pratique ? Entre accidents traumatiques, sollicitation cardiaque et conditions météo extrêmes, pratiquer le ski après 50 ans demande effectivement quelques précautions. Mais rassurez-vous : avec une bonne préparation et un équipement adapté, vous pouvez tout à fait continuer à dévaler les pentes en toute sécurité. Cet article fait le point sur les risques spécifiques aux skieurs seniors et les mesures concrètes pour les minimiser.

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Pol de Fauconis
Ski après 50 ans : quels sont les vrais risques ?
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Les principaux risques traumatiques du ski chez les seniors

Les fractures, premier danger après 50 ans

Le risque numéro un du ski pour les plus de 50 ans ? Les fractures. Avec l'âge, la densité osseuse diminue naturellement, surtout chez les femmes après la ménopause. Un simple choc qui aurait causé une contusion à 30 ans peut entraîner une fracture à 55.

Les fractures les plus fréquentes chez les skieurs seniors :

La fracture du poignet survient lors d'une chute en avant ou sur le côté. Le réflexe naturel de tendre les bras pour amortir la chute concentre tout le poids du corps sur les poignets. Cette blessure nécessite généralement un plâtre pendant 6 semaines et peut laisser des séquelles si elle n'est pas bien immobilisée.

La fracture de l'épaule, notamment la clavicule, arrive lors de chutes latérales violentes. Chez les seniors, elle nécessite parfois une intervention chirurgicale. La récupération complète demande au moins 3 mois.

La fracture du col du fémur est la plus redoutée. Elle nécessite quasiment toujours une hospitalisation d'urgence et une opération chirurgicale. La convalescence s'étend sur plusieurs mois avec rééducation intensive. Cette fracture entraîne une perte d'autonomie dans 40% des cas chez les personnes âgées.

La fracture des côtes peut provoquer un pneumothorax (perforation du poumon), complication grave qui nécessite une hospitalisation immédiate. Même sans complication, la douleur persiste pendant 6 à 8 semaines.

Selon l'association Médecins de Montagne, les fractures représentent près de 35% des accidents de ski chez les plus de 50 ans, contre seulement 20% chez les 20-30 ans. Si vous prenez des corticoïdes au long cours, votre risque de fracture est encore plus élevé. Parlez-en à votre médecin avant de partir au ski.

Les entorses du genou : l'ennemi des ligaments

Après 50 ans, les ligaments perdent en élasticité et en résistance. Le collagène qui leur donne leur solidité se dégrade progressivement. Une rupture des ligaments croisés peut nécessiter plusieurs mois de rééducation, voire une intervention chirurgicale.

Pourquoi le genou est-il si vulnérable au ski ?

Les torsions brutales lors des virages serrés sont la cause numéro un. Votre ski accroche une plaque de glace, votre pied part dans une direction, mais votre genou continue dans l'autre sens. C'est le mécanisme classique de l'entorse ou de la rupture du ligament croisé antérieur.

Les fixations mal réglées constituent un danger majeur. Elles doivent se déclencher automatiquement en cas de chute, mais pas trop facilement non plus. Le réglage doit être fait par un professionnel chaque saison, en fonction de votre poids, taille, âge et niveau.

La fatigue musculaire en fin de journée aggrave le risque. Des muscles toniques stabilisent le genou et absorbent les chocs. Fatigués, ils ne jouent plus ce rôle protecteur. La majorité des entorses surviennent lors de la dernière descente de la journée.

Les entorses du genou touchent environ 25% des skieurs seniors blessés. La convalescence totale peut s'étendre sur 6 à 9 mois.

Les traumatismes crâniens : ne jamais négliger le casque

Les traumatismes crâniens peuvent avoir des conséquences graves chez les plus de 50 ans, notamment si vous prenez des anticoagulants. Ces médicaments fluidifient le sang : en cas de choc à la tête, le moindre saignement intracrânien prend plus d'ampleur et peut provoquer un hématome cérébral grave.

Un choc à la tête peut provoquer :

Une commotion cérébrale provoque maux de tête, vertiges, confusion, perte de mémoire de l'événement. Après 50 ans, les symptômes peuvent durer plus longtemps et la récupération est plus lente.

Un hématome sous-dural est une accumulation de sang entre le cerveau et la membrane qui l'entoure. Il peut se former lentement, sur plusieurs heures ou jours après le choc. C'est une urgence neurochirurgicale absolue.

Des troubles de l'équilibre durables peuvent persister après un traumatisme crânien, même léger, et nécessiter une rééducation vestibulaire.

Depuis 2017, le port du casque a réduit de 60% le risque de traumatisme crânien grave. Pourtant, seulement 70% des skieurs seniors le portent systématiquement. Un casque doit être remplacé après un choc et changé tous les 5 ans.

Les risques cardiaques et respiratoires en altitude

Le cœur à l'épreuve de l'effort et du froid

Le ski sollicite intensément le système cardiovasculaire. Une descente de ski fait monter votre fréquence cardiaque à 120-140 battements par minute, l'équivalent d'une course à pied modérée.

Ce qui met le cœur sous pression :

Le froid provoque une vasoconstriction (rétrécissement des vaisseaux sanguins) qui augmente la tension artérielle. Votre cœur doit pomper plus fort pour faire circuler le sang dans des vaisseaux rétrécis.

L'altitude réduit l'oxygénation du sang dès 1500 mètres. À 2000 mètres, l'air contient environ 20% d'oxygène en moins qu'au niveau de la mer. Si vos artères coronaires sont rétrécies par de l'athérosclérose, le cœur risque de manquer d'oxygène.

L'effort physique intense alterne des phases d'effort et de récupération. Ces variations brusques peuvent être mal tolérées par un cœur fragilisé.

Le stress émotionnel fait monter le taux d'adrénaline, accélère le rythme cardiaque et augmente la tension artérielle.

Chaque année en France, une vingtaine de décès par arrêt cardiaque surviennent sur les pistes, dont la majorité concerne des hommes de plus de 50 ans qui n'avaient pas consulté leur médecin avant de partir.

L'altitude : un facteur aggravant souvent sous-estimé

Dès 1500 mètres, la pression atmosphérique diminue et l'air contient moins d'oxygène. Votre organisme met en place des mécanismes d'adaptation, mais après 50 ans, ce processus est plus lent et moins efficace.

Symptômes du mal aigu des montagnes :

  • Maux de tête persistants au front ou aux tempes
  • Essoufflement anormal dès le moindre effort
  • Vertiges ou nausées
  • Fatigue intense dès le premier jour

Si vous prévoyez de skier au-dessus de 2000 mètres, accordez-vous une journée d'adaptation avant de vous lancer sur les pistes les plus hautes. Certaines pathologies contre-indiquent le séjour en altitude : insuffisance cardiaque sévère, hypertension artérielle pulmonaire, anémie importante, insuffisance respiratoire chronique grave.

Les risques liés aux conditions météo et à la fatigue

Hypothermie et gelures : protéger son corps du froid

Avec l'âge, la régulation thermique du corps devient moins efficace. La masse musculaire diminue (moins de chaleur produite) et la circulation sanguine périphérique est souvent moins bonne. Résultat : vous avez plus de mal à maintenir votre température corporelle.

L'hypothermie survient quand la température centrale du corps descend en dessous de 35°C. Les symptômes progressent : frissons intenses, confusion mentale, troubles de la coordination, somnolence. Les personnes de plus de 50 ans ressentent moins bien le froid et ne se rendent pas toujours compte du danger.

Les gelures touchent d'abord les extrémités : doigts, orteils, nez, oreilles. La peau devient blanche, dure et insensible. Si l'exposition au froid se prolonge, les tissus gèlent en profondeur et peuvent nécessiter une amputation dans les cas extrêmes.

Pour éviter ces risques, équipez-vous correctement : sous-vêtements thermiques, couche isolante, veste imperméable, gants techniques, bonnet sous le casque. Faites des pauses régulières au chaud toutes les 2 heures. Ne buvez pas d'alcool : contrairement à l'idée reçue, il augmente la déperdition de chaleur.

La fatigue, facteur majeur d'accidents

Après 50 ans, on récupère moins vite d'un effort physique intense. La fatigue musculaire augmente considérablement le risque de chute pour plusieurs raisons : les muscles ne jouent plus leur rôle de stabilisation, la concentration diminue, le temps de réaction s'allonge.

Signes de fatigue à surveiller :

  • Jambes qui tremblent en fin de descente
  • Difficulté à contrôler sa vitesse
  • Perte de concentration
  • Temps de réaction plus long
  • Douleurs musculaires pendant l'effort

La majorité des accidents chez les skieurs seniors surviennent en fin de journée, entre 15h et 17h. N'hésitez pas à écourter votre journée si vous sentez vos forces décliner.

Comment minimiser les risques du ski après 50 ans ?

Consultez votre médecin avant de partir

Avant toute reprise du ski, prenez rendez-vous avec votre médecin traitant. Il évaluera votre état cardiovasculaire (tension, auscultation cardiaque, pouls), votre condition physique générale, vos traitements médicaux et vos antécédents de blessures.

L'épreuve d'effort cardiaque est souvent recommandée après 50 ans, surtout chez les hommes avec facteurs de risque. Cet examen permet de détecter d'éventuelles anomalies qui n'apparaissent qu'à l'effort. Certains médicaments (anticoagulants, bêta-bloquants, médicaments contre le diabète) peuvent nécessiter des précautions particulières.

Préparez-vous physiquement plusieurs semaines avant

Commencez votre préparation 6 à 8 semaines avant votre départ. Le ski sollicite des muscles qu'on n'utilise pas au quotidien. Une bonne préparation réduit de 50% le risque d'accident.

Programme de préparation (2 à 3 fois par semaine) :

Renforcement musculaire : squats (3 séries de 10), fentes (3 séries de 10 par jambe), gainage (3 fois 30 secondes à 1 minute), exercices pour les mollets (3 séries de 15).

Cardio (3 fois par semaine, 30 à 45 minutes) : marche rapide en montée, vélo, natation.

Équilibre (2 à 3 fois par semaine, 10 minutes) : tenir en équilibre sur un pied (5 fois 30 secondes de chaque côté), utiliser un plateau d'équilibre.

Étirements (après chaque séance, 10 minutes) : quadriceps, ischio-jambiers, mollets, hanches.

Équipez-vous correctement

Casque homologué (norme CE EN 1077) : absolument obligatoire. Il doit être bien serré, couvrir le front et l'arrière du crâne. À remplacer après un choc ou tous les 5 ans.

Protection dorsale : particulièrement recommandée après 60 ans. Elle protège votre colonne vertébrale en cas de chute sur le dos.

Skis adaptés : privilégiez des skis tolérants, faciles à manier. Pour les seniors, on recommande des skis plus courts (environ 10 cm de moins que votre taille).

Fixations bien réglées : le réglage doit être fait par un professionnel chaque saison, en fonction de votre poids, taille, âge et niveau.

Vêtements techniques : système multicouches (sous-vêtements thermiques, couche isolante, veste imperméable et respirante), gants de ski techniques, bonnet, lunettes ou masque avec protection UV 100%, crème solaire haute protection.

La location de matériel est une excellente option : le matériel est récent, bien entretenu et adapté à votre niveau.

Adaptez votre pratique

  • Commencez toujours par des pistes faciles pour vous échauffer
  • Évitez les pistes noires et les hors-pistes non balisés
  • Skiez en groupe ou au moins à deux, jamais seul
  • Faites des pauses régulières (toutes les heures ou toutes les 3-4 descentes)
  • Hydratez-vous régulièrement, même sans soif
  • Respectez la signalisation et les règles de conduite sur les pistes
  • N'hésitez pas à prendre un cours de remise à niveau
  • Arrêtez-vous dès que vous sentez la fatigue
  • Adaptez votre programme selon la météo

Vérifiez votre couverture santé et assurantielle

Les frais peuvent rapidement grimper en cas d'accident :

Frais de secours sur piste : 300 à 600 euros pour une évacuation standard, 2000 à 3000 euros si l'hélicoptère est nécessaire.

Hospitalisation : 500 à 1000 euros par nuit, plusieurs milliers d'euros pour une intervention chirurgicale.

Rapatriement sanitaire : 1000 à 3000 euros selon la distance.

Rééducation post-accident : plusieurs mois de kinésithérapie.

Solutions pour vous couvrir :

  • Vérifiez votre mutuelle santé (rubrique "sports à risque" ou "garanties assistance")
  • Souscrivez une assurance ski temporaire (30 à 50 euros par personne pour une semaine)
  • Achetez l'assurance "Carré Neige" avec votre forfait (2 à 3 euros par jour)
  • Vérifiez si votre carte bancaire inclut une assurance ski (cartes haut de gamme)

Si vous prenez des anticoagulants, signalez-le à votre assurance. Certains contrats excluent ou limitent la couverture.

Le saviez-vous ? Une intervention du PGHM ou des pisteurs-secouristes peut coûter entre 300 et 1500 euros. L'hélicoptère médicalisé peut atteindre 3000 euros. Si vous skiez hors-piste sans guide, certaines assurances peuvent refuser de vous couvrir.

Vos questions sur le ski après 50 ans

Peut-on commencer le ski après 50 ans si on n'en a jamais fait ?

Oui, absolument ! Prenez des cours avec un moniteur diplômé, progressez à votre rythme et préparez-vous physiquement. Commencez par des pistes vertes et ne vous fixez pas d'objectifs trop ambitieux. De nombreuses stations proposent des cours spécifiquement dédiés aux seniors débutants. Prévoyez au moins 3 à 5 jours de cours pour acquérir les bases.

Le ski est-il plus dangereux que d'autres sports pour les seniors ?

Le ski présente un risque de traumatisme plus élevé que la marche ou le vélo, mais avec les précautions adaptées, il reste moins accidentogène que des sports collectifs. En 2024, environ 3% des skieurs de plus de 50 ans connaîtront un accident nécessitant des soins médicaux. Les bénéfices du ski pour la santé (renforcement musculaire, équilibre, bien-être mental) dépassent largement les risques, à condition de pratiquer de manière raisonnée.

Faut-il un certificat médical pour skier après 50 ans ?

En France, aucun certificat médical n'est obligatoire pour le ski en loisir. En revanche, il est fortement recommandé de consulter votre médecin avant de partir, surtout si vous avez des antécédents cardiovasculaires ou si vous n'avez pas pratiqué de sport depuis longtemps. Cette consultation est une vraie sécurité pour vous.

Quelles stations sont les plus adaptées aux skieurs seniors ?

Privilégiez les stations familiales avec beaucoup de pistes vertes et bleues : Serre Chevalier, Les Gets, Chamrousse, Font-Romeu, Megève. Ces stations offrent des pistes larges, bien entretenues, de bons services médicaux et une ambiance moins "speed". Évitez les stations hyper fréquentées pendant les vacances scolaires. Préférez partir en janvier ou début mars.

Puis-je skier si je prends des anticoagulants ?

Vous pouvez skier sous anticoagulant, mais après en avoir parlé impérativement à votre médecin. Le risque principal est qu'une simple chute provoque des saignements internes importants. Si vous avez le feu vert médical, le port du casque et des protections devient absolument indispensable. Skiez uniquement sur des pistes faciles et ayez toujours sur vous votre carte de traitement anticoagulant.

Que faire en cas de chute ou de malaise sur les pistes ?

Si vous chutez avec une douleur importante, ne vous relevez pas immédiatement. Si la douleur est intense ou si vous suspectez une fracture, ne bougez pas et appelez les secours (112 en Europe). En cas de malaise (douleur thoracique, essoufflement intense, vertiges), mettez-vous assis ou allongé et alertez immédiatement les secours. Un malaise cardiaque sur les pistes est une urgence absolue : chaque minute compte.

Le ski de fond est-il moins risqué que le ski alpin après 50 ans ?

Le ski de fond présente moins de risques traumatiques, mais il est beaucoup plus exigeant cardiovasculairement. Si vous avez des problèmes cardiaques, il peut être déconseillé. Pour les personnes avec des problèmes articulaires (arthrose), le ski de fond peut être une excellente alternative car il est moins traumatisant. Parlez-en à votre médecin.

Puis-je skier si j'ai de l'arthrose aux genoux ?

Une arthrose légère à modérée n'empêche pas forcément de skier. Prenez des précautions : échauffement soigneux, pistes faciles uniquement, pauses fréquentes, port de genouillères. Si vous souffrez d'arthrose sévère avec douleurs importantes, il est préférable de vous orienter vers des activités moins contraignantes : raquettes, balades en traîneau. Ne forcez jamais : si vos genoux vous font mal pendant le ski, ce n'est pas l'activité adaptée.

Le ski après 50 ans n'est pas sans risques : fractures, entorses, problèmes cardiaques, hypothermie font partie des dangers réels. Le corps change avec l'âge, c'est inévitable. Mais faut-il pour autant renoncer ? Certainement pas. Des milliers de seniors skient chaque hiver sans problème, en prenant simplement les précautions qui s'imposent.

La clé, c'est l'adaptation. Adapter sa pratique à ses capacités actuelles, sans chercher à reproduire ses performances d'il y a vingt ou trente ans. Accepter de descendre d'un cran dans la difficulté. Privilégier la qualité à la quantité. Écouter son corps et ses signaux d'alerte. Savoir s'arrêter à temps.

Avec une préparation physique adaptée, un équipement de qualité, une pratique raisonnée et un suivi médical régulier, vous pouvez continuer à profiter des plaisirs de la glisse. Consultez votre médecin avant de partir, c'est la règle d'or. Vérifiez que votre mutuelle santé couvre bien les risques liés aux sports d'hiver.

Il n'y a aucune honte à privilégier la prudence sur les pistes. L'objectif est de profiter de la montagne en toute sérénité, de partager de bons moments, de respirer le grand air. Pas de battre des records ou de prouver quoi que ce soit.

Alors oui, vous pouvez skier après 50 ans. Mais skiez intelligent, skiez préparé, skiez protégé.


Sources :

  • Médecins de Montagne – Association nationale des médecins et secouristes de montagne (statistiques accidents de ski 2023-2024)
  • Sécurité des Sports de Montagne (SSM) – Rapport annuel sur les accidents en stations de ski françaises
  • Fédération Française de Ski – Guide de prévention des accidents chez les skieurs seniors
  • Assurance Maladie (Ameli.fr) – Remboursement des frais de secours en montagne et prise en charge des accidents de ski
  • Société Française de Cardiologie – Recommandations pour la pratique du ski chez les personnes à risque cardiovasculaire
  • INSERM – Études sur le vieillissement osseux et la prévention des fractures chez les seniors
  • Institut National de Prévention et d'Éducation pour la Santé (INPES) – Prévention des accidents sportifs chez les seniors
  • Haute Autorité de Santé (HAS) – Recommandations sur l'activité physique et sportive chez les personnes âgées
  • Association Nationale pour l'Étude de la Neige et des Avalanches (ANENA) – Données sur les accidents en montagne selon l'âge
  • Ministère des Sports – Statistiques nationales sur les accidents de sports d'hiver

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